En 2017, Mme C… du Boulou, contacte un homme réalisant des travaux au domicile d’un voisin.
Elle sollicite un devis pour la réfection de sa toiture et signe ce contrat de vente le 16 juillet 2017, au tarif de plus de 12 000 euros.
Les travaux sont réalisés en cours du mois de décembre 2017 et elle honore la facture présentée par cette entreprise située au Barcarès.
Très rapidement, elle s’aperçoit qu’en cas de pluie les chéneaux (gouttières) ne remplissent par leur rôle et que l’eau passe entre la toiture et la gouttière.
En fait les chéneaux ont été posés trop loin par rapport au bord de la toiture.
Le professionnel avisé de la situation a posé une toile pour combler l’espace vide mais cette réparation de fortune n’a pas tenu dans le temps.
Malgré l’envoi d’un courrier recommandé à l’entrepreneur en 2024, sa demande restait vaine.
Au mois de février 2025, Mme C… nous confiait son litige et nous adressions dès lors un courrier à la Société ayant réalisé la réfection de la toiture.
Après plusieurs rendez vous reportés, cette Société, très honnête et professionnelle, finissait par revoir la pose des chéneaux et solutionner définitivement cette anomalie.
